Développement de l’extrémité de la tige d’élodée
Figures agrandies 1340 fois.
Fig. 1 : Vue externe d’un apex de tige d'Elodea canadensis. Les feuilles sont régulièrement alternées et disposées en verticilles triples, chaque verticille étant décalé d’un sixième de tour du précédent.
Fig. 2 : Vue en coupe longitudinale d’un apex de tige d'Elodea canadensis. Le dermatogène constitue la couche la plus externe de l’extrémité des tiges en croissance. Sous celui-ci, les divisions ne sont pas exclusivement radiales, une cellule pouvant être ponctuellement séparée à l'intérieur par une paroi tangentielle ou oblique (a). Présence d’une ébauche foliaire (b).
Fig. 1 : Vue externe d’un apex de tige d'Elodea canadensis. Les feuilles sont régulièrement alternées et disposées en verticilles triples, chaque verticille étant décalé d’un sixième de tour du précédent.
Fig. 2 : Vue en coupe longitudinale d’un apex de tige d'Elodea canadensis. Le dermatogène constitue la couche la plus externe de l’extrémité des tiges en croissance. Sous celui-ci, les divisions ne sont pas exclusivement radiales, une cellule pouvant être ponctuellement séparée à l'intérieur par une paroi tangentielle ou oblique (a). Présence d’une ébauche foliaire (b).