Anatomie de la tige de seigle
Fig.1 : Tige de seigle en vue externe montrant plusieurs entrenoeuds (v). Cette zone de végétation intercalaire correspond à la zone de la gaine foliaire où la texture reste souple et permettra la croissance de chaque entrenoeud depuis sa base.
Fig.2 : Représentation de la zone de végétation intercalaire en coupe longitudinale avec fort grossissement. Entre (k) et (k), la gaine (s) forme un gonflement correspondant au nœud. Au niveau de l’entrenoeud (i), les vaisseaux du xylème, identifiables par leur couleur rouge, s’interconnectent à la base du nœud en (d).
Fig.3 : Représentation de la zone (x-x) de la figure 2 en coupe transversale. La consolidation de la tige (v) à cet endroit est uniquement assurée par la gaine (k), qui comporte de nombreux faisceaux cribro-vasculaires renforcés par du sclérenchyme (en jaune).
Fig.2 : Représentation de la zone de végétation intercalaire en coupe longitudinale avec fort grossissement. Entre (k) et (k), la gaine (s) forme un gonflement correspondant au nœud. Au niveau de l’entrenoeud (i), les vaisseaux du xylème, identifiables par leur couleur rouge, s’interconnectent à la base du nœud en (d).
Fig.3 : Représentation de la zone (x-x) de la figure 2 en coupe transversale. La consolidation de la tige (v) à cet endroit est uniquement assurée par la gaine (k), qui comporte de nombreux faisceaux cribro-vasculaires renforcés par du sclérenchyme (en jaune).