Cuticule et cires épicuticulaires
La fig. 1 présente une coupe transversale de cellules épidermiques d’une tige de Ruscus aculeatus, le fragon faux-houx, une plante de la famille des Liliacées avec une cuticule très développée. La paroi externe des cellules épidermiques est fortement épaissie, tout comme la cuticule dont on distingue la partie interne (y) et la partie externe (c). z : méat.
La fig. 2 présente des cellules épidermiques (e) d’une jeune tige de tournesol (Helianthus annuus, Astéracées) où la paroi externe (a) n’est recouverte que d’une mince cuticule (c).
La fig. 2 présente des cellules épidermiques (e) d’une jeune tige de tournesol (Helianthus annuus, Astéracées) où la paroi externe (a) n’est recouverte que d’une mince cuticule (c).